blog-politique

Archives par date

Vous regardez les archives du site par date.

L’homme universel n’est pas l’homme uniforme. (5/5)

Avec la catastrophe du tsunami et le mouvement mondial de solidarité sans précédent qu’elle a suscité nous avons changé d’ère. Après la mondialisation économique vient la celle de l’émotion, de la compassion et de la bonne action. Ces événements loin d’être superficiels nous révèlent notre part d’universel et nous rapproche de la société mondiale : unisson des réactions et des actions, mobilisation unanime des ONG, des entreprises, des individus et des gouvernements…

La globalisation abolit la diversité du monde. (4/5)

C’est le mythe qui caractérise le plus notre temps de crise idéologique. Faute de pouvoir imaginer ce que l’on peut faire du monde de demain on se focalise sur les effets pervers de la mondialisation, notamment la globalisation – c’est-à-dire l’uniformisation des modes de vie.

Mondialisation : le vocabulaire du mythe (3/5)

Le mythe est de faire du phénomène de la mondialisation une rupture radicale.

Mondialisation, libéralisme et globalisation, pourquoi 3 fléaux ? (2/5)

La mondialisation est souvent décrite comme un danger, mis en route par les tenants de l’ultra-libéralisme ou tout du moins préservé… pour noircir le tableau un autre mot vient encore plus obscure dans son sens et dans la réalité qu’il entend éclairer : la globalisation. La globalisation est présentée comme un avatar encore plus dangereux de la mondialisation : c’est le phénomène de l’uniformisation.

Mondialisation : essai de définition d’une réalité multiple. (1/5)

Le terme de « mondialisation » décrit l’accroissement des mouvements de biens, de services, de main d’œuvre, de technologie et de capital à l’échelle internationale. Bien que la mondialisation ne soit pas un phénomène nouveau : on peut faire commencer la mondialisation lors des grandes expéditions maritimes des 15ème et 16ème siècles à la suite de Magellan qui ont permis la création des empires coloniaux et le terme est apparu en français en 1964 dans le cadre de travaux économiques et géopolitiques pour désigner l’extension des marchés industriels au niveau des blocs géopolitiques au moment de la Guerre Froide. Le terme s’est généralisé dans les années 1990, à partir des thèses du philosophe Marshall Macluhan sur l’émergence d’un village global et surtout par le fait des mouvements antimondialistes et altermondialistes qui ont voulu attirer l’attention du public sur l’ampleur du phénomène.

La Chine, 3ème puissance économique mondiale en 2008

La Chine est en route pour devenir la troisième puissance économique mondiale. L’an dernier, le taux de croissance de son économie a atteint 10,7%, du jamais vu depuis onze ans. Un chiffre bien supérieur aux objectifs affichés par le gouvernement chinois en début d’année (8%). Si rien ne calme la formidable énergie de « l’usine du monde » dans les prochains mois, la Chine doublera l’Allemagne dès 2008, année des jeux olympiques à Pékin.

Comparatif éloquent sur les risques de dépression en fonction des choix et des aléas de la vie

L’évolution de la société dans ses règles n’y est pas étranger…

Le droit au logement

Le droit au logement opposable en justice. Au-delà de sa difficile application, qui s’annonce être un véritable casse-tête, cette proposition, pleine de bons sentiments, en dit long sur l’état de notre pays. La mode est de plus en plus à la distribution de droits. C’est une autre version de l’Etat providence qui fleure bon le passé.

Aides publiques : le jackpot des entreprises

Un rapport non publié estime que les aides publiques versées aux entreprises ont représenté 65 milliards d’euros en 2005, soit 4% du PIB.

Débat d’idées de mauvaise qualité…la faute aux médias ?

Les médias ont une large responsabilité dans la non qualité du débat de ce début de campagne présidentielle. Ils sont plus intéressés par la « petite phrase » qui leur permet de tenir le haut du pavé pendant le plus longtemps possible. Celle d’Arnaud Montebourg, marquant un but contre son camp, en est un exemple criant. A défaut ils se contentent d’une expression fautive ou maladroite – la bravitude fera l’affaire…