blog-politique

Archives par date

Vous regardez les archives du site par date.

On va vers la fin de la vie privée

Selon Joël de Rosnay, « Il apprécie à sa juste mesure « le champ vaste » ouvert par les techniques de traçabilité. « De plus en plus, on pourra cliquer sur notre environnement avec notre téléphone portable(…) Celui-ci est en train de devenir le communicateur personnel multimédia et multifonctions ». » (…)

Accord entre Pékin et Taïpeh sur le tourisme et des vols réguliers

Selon Bruno Philip, « L’élection du nouveau président taïwanais, Ma Ying-jeou, vient de donner les résultats escomptés, la politique de la main tendue du chef de l’Etat à l’égard de la Chine ayant porté ses premiers fruits : la décrispation des rapports entre l’île et la République populaire s’est traduite, vendredi 13 juin, par la signature d’accords historiques entre les deux rivaux. » (…)

Oser l’innovation

Selon André-Yves Portnoff, « L’heure est grave, affirme-t-il, diagnostiquant un cruel déficit d’innovation technique et organisationnelle. Les conséquences économiques et sociales pourraient se révéler de plus en plus lourdes, faute d’investissement suffisant des grands groupes et de vision de long terme en matière industrielle. » (…)

10 raisons d’être optimiste malgré la crise

1°) Le recule du pétrole va se lire à la pompe 2°) Les prix de l’immobilier redeviennent abordables 3°) L’inflation se calme, les taux d’intérêts aussi 4°) L’Euro trop fort, c’est fini 5°) Des géants bancaires se créent 6°) Des affaires à faire en bourse 7°) L’industrie fait son grand retour 8°) Le capitalisme se [...]

Faut-il moraliser le capitalisme ?

Selon Alain-Gérard Slama, « Plus la crise s’aggrave, plus se multiplient, à tous les niveaux, les appels à « moraliser le capitalisme ». l’expression est doublement dangereuse : parce qu’elle sert indirectement la propagande de l’ultra-gauche, selon laquelle le capitalisme est intrinsèquement pervers ; et plus gravement encore, parce que, prise à la lettre, elle aboutirait à le paralyser.(…) »

L’Etat n’a plus d’argent, quelles solutions : très simple : accroître la richesse collective

Selon Yves de Kerdrel « Il ne faudrait pas croire que, face à la crise mondiale, les pouvoirs publics ont une solution, que l’économie est une activité quasi régalienne, et que le niveau de la croissance pourrait se décréter comme à l’époque heureusement révolue de la planification et du contrôle des prix. Jamais autant qu’aujourd’hui le roi n’a été aussi nu. Pour deux raisons. La première, c’est que, depuis le traité de Maastricht et surtout la mise en œuvre de l’euro, notre politique budgétaire ne se fait qu’en fonction des contraintes bruxelloises, et notre politique monétaire est décidée à Francfort par quelques fonctionnaires non élus. Nul besoin d’être Prix Nobel pour comprendre que, sans maîtrise du budget ni de la monnaie, il n’est pas possible de mener une politique économique crédible. D’où l’idée de mettre au point des initiatives européennes concertées. (…) »

S’abonner aux News du Blog Politique, Flux RSS

Une vidéo pour vous expliquer le principe des flux RSS et comment s’abonner aux nouveaux articles du Blog. En effet le blog politique ne souhaite pas vous envoyer de multiples News Letter pendant l’année pour ne pas saturer vos boîtes mails. Nous mettons un point d’honneur par contre à publier de 1 à 3 billets par semaine et vous tenir informé de l’actualité politique, économique, sociale, culturelle et sociétale.

La dictature de la régression

Auteurs d’ouvrages magistraux sur la Pologne opprimée où elle est née, Alexandra Viatteau tourne aujourd’hui son regard expérimenté vers un autre pays en crise, la France… Elle y discerne l’émergence d’une société infantile qui étouffe les potentialités humaines positives.

L’avenir de l’eau / l’avenir et l’eau

Nous sommes heureux de vous faire partager le message envoyé par Julia Roubaud, collaboratrice d’Erik Orsenna, à l’occasion de la sortie de son dernier livre « l’avenir de l’eau.

Un avant goût avec la quatrième de couve et quelques passages : 4ème de couverture L’avenir de l’eau – Petit précis de la mondialisation II d’Erik Orsenna :


« Dans dix ans, dans vingt ans, aurons-nous assez d’eau ? Assez d’eau pour boire ? Assez d’eau pour faire pousser les plantes ? Assez d’eau pour éviter qu’à toutes les raisons de faire la guerre s’ajoute celle du manque d’eau ?

Dans l’espoir de répondre à ces questions, je me suis promené. Longuement. Du Nil au Huang He (fleuve Jaune). De l’Amazone à la toute petite rivière Neste, affluent de la Garonne. De l’Australie qui meurt de soif aux îles du Brahmapoutre noyées par les inondations…

J’ai rencontré des scientifiques , des paysans, des religieux, des constructeurs de barrages, des physiciens alpinistes qui mesurent sur tous les toits du monde la fonte des glacier. J’ai passé du temps avec les médecins de Calcutta qui luttent contre le choléra. J’ai écouté d’innombrables leçons, dont celle du scarabée de Namibie et celle du kangourou. Quelles sont leurs techniques pour survivre en plein cœur du désert ?

Peu à peu, j’ai fait plus ample connaissance avec notre planète. J’ai vu s’aggraver partout les inégalités, notamment climatiques. Mais j’ai vu aussi la réussite du pragmatisme, de belles coopérations entre administrations et entreprises privées. J’ai vu des illusions et des férocités à l’œuvre.

De retour de voyage, voici maintenant le moment de raconter.

Un habitant de la planète sur six continue de n’avoir pas accès à l’eau.

Un sur deux vit sans système d’évacuation.

Pourquoi ? »



Quelques mots sur l’auteur :


Après des études de philosophie et de sciences politiques, Erik Arnoult, dit Orsenna, enseigne l’économie à l’Ecole normale supérieure. Il entame par la suite des activités administratives et devient conseiller ministériel puis conseiller culturel auprès du président François Mitterrand de 1981 à 1984, expérience relatée dans ‘Grand amour’ en 1993. En décembre 1985, il entre au Conseil d’Etat et exerce les fonctions de maître des requêtes. Parallèlement à ses activités, il est l’auteur de sept romans et obtient le prix Roger Nimier en 1978 pour ‘La Vie comme Lausanne’ ainsi que le prix Goncourt 1988 pour ‘L’ Exposition coloniale’. Il est élu à l’Académie française le 28 mai 1998. Il est aujourd’hui vice-président de la société Cytale, dédiée au livre électronique. En octobre 2003, il participe au 16e festival du Livre de Mouans-Sartoux dans les Alpes-Maritimes, pour la présentation de son ouvrage, ‘Madame Bâ’. L’année suivante, il publie ‘Les Chevaliers du subjonctif ‘, <http://www.evene.fr/tout/cette> ‘Portrait du Gulf Stream’ en 2005 et ‘Voyage au pays du coton’ en 2006. En 2007, Erik Orsenna reçoit le prix du Livre d’économie pour ‘Voyage au pays du coton’ et publie ‘La Révolte des accents’, un roman sur la disparition des accents dans la langue française. Ecrivain prolifique, l’académicien signe l’année suivante ‘La Chanson de Charles Quint’, l’histoire de deux frères qui comparent leurs deux visions de l’amour. Avec une carrière longue et saluée, Erik Orsenna est sans conteste l’un des écrivains français les plus importants du XXe siècle.

Pas lieu de sanction pour les magistrats dans l’affaire OUTRAU !

Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a considéré hier que le procureur de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) Gérard Lesigne ne méritait aucune sanction disciplinaire pour sa gestion de l’affaire de pédophilie d’Outreau. Le procès avait traduit 17 personnes devant les assises pour avoir participé à des abus sexuels sur mineurs. Parmi elles, 13 seront finalement mises hors de cause.