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La politique et Sarkozy

Les Français auraient tout supporter si M. Sarkozy, menacé par une impopularité tenace, n’avait cru bon de s’occuper personnellement de la campagne régionale, de s’accorder de multiples satisfecit, ne triomphait souvent aux dépens de ses alliés comme il l’a fait à propos de la nomination de Michel Barnier à la commission européenne. Il a annoncé la victoire des thèses financières françaises sur celle du monde anglo-saxon, ce qui a agacé puis acquitter, puis fâché tout rouge les Anglais. Quitte, ensuite à se rabibocher avec le premier ministre, dans un tour de passe-passe à la Hugo Chavez : je dis beaucoup de mal de vous, surtout pour faire plaisir au peuple, mais en réalité je n’ai rien contre vous. C’est une politique en zigzag qui soulève beaucoup de méfiance à l’étranger, beaucoup d’ironie chez nos grands partenaires (anglais, allemand), et une indifférence froissée chez Obama. Sarkozy, c’est comme le moteur à explosion : beaucoup d’énergie gaspillée, alors qu’il est simple d’éviter les polémiques, de se concentrer sur l’essentiel, de déléguer ses pouvoirs et de ne jamais parler que de ce qui est important. La politique et Sarkozy. Les Français auraient tout supporter si M. Sarkozy, menacé par une impopularité tenace, n’avait cru bon de s’occuper personnellement de la campagne régionale, de s’accorder de multiples satisfecit, ne triomphait souvent aux dépens de ses alliés comme il l’a fait à propos de la nomination de Michel Barnier à la commission européenne. Il a annoncé la victoire des thèses financières françaises sur celle du monde anglo-saxon, ce qui a agacé puis acquitter, puis fâché tout rouge les Anglais. Quitte, ensuite à se rabibocher avec le premier ministre, dans un tour de passe-passe à la Hugo Chavez : je dis beaucoup de mal de vous, surtout pour faire plaisir au peuple, mais en réalité je n’ai rien contre vous. C’est une politique en zigzag qui soulève beaucoup de méfiance à l’étranger, beaucoup d’ironie chez nos grands partenaires (anglais, allemand), et une indifférence froissée chez Obama. Sarkozy, c’est comme le moteur à explosion : beaucoup d’énergie gaspillée, alors qu’il est simple d’éviter les polémiques, de se concentrer sur l’essentiel, de déléguer ses pouvoirs et de ne jamais parler que de ce qui est important.

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