le mystère XX ou pourquoi l’espérance de vie de la femme est plus importante
Dix ans d’espérance de vie en plus, meilleure résistance face aux cancers, surmortalité par infarctus… Face à la maladie, la parité n’est pas (encore ?) de mise. Moins nombreuses à la naissance, plus exposées par la maternité et les pathologies gynécologiques, les femmes finissent pourtant par surpasser les hommes. De l’embryon aux centenaires, le sexe faible n’est plus celui qu’on croit.